L'environnement

L’eau et le développement durable

L’association est sans doute la première à avoir lancé un véritable cri d’alarme pour sensibiliser l’opinion publique sur les problèmes de l’eau. Dès ses premières publications, ses premières rencontres, l’association rappelait au grand public que l’eau était non seulement indispensable à toute vie mais aussi et surtout qu’elle était désormais menacée et qu’il fallait donc prendre de toute urgence des mesures pour la ménager, l’économiser, la protéger, la sauvegarder.

L’association publiait alors plusieurs articles qui aujourd’hui font référence et qui rappelaient qu’une grande partie de la population mondiale n’avait pas accès à l’eau, que l’eau allait devenir « le grand enjeu mondial du XXIème siècle » (comme l’or noir l’avait été tout au cours du XXème siècle), et que les problèmes de l’eau provoquaient déjà, dans certaines régions du monde, des conflits armés entre pays voisins.

Avant même que la législation européenne n’édicte les toutes premières dispositions à ce sujet, La Seine en Partage et ses Affluents affirmait qu’il fallait de toute urgence que chacun se mobilise en faveur de la sauvegarde de l’eau et de l’amélioration de la qualité de l’eau.

Or, par définition même, les riverains sont les premiers témoins (et les premières victimes) de la dégradation de la qualité de l’eau. Ils sont « les vigies des bords de l’eau », « les gardiens du trésor commun ».

Pour approfondir le sujet :

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La lutte contre toutes les pollutions

En mobilisant l’opinion sur les problèmes de l’eau et de sa dégradation par les excès de certaines industries ou les abus de produits dangereux trop souvent utilisés par le monde agricole, en militant en faveur de l’amélioration de la qualité de l’eau, en rappelant sans cesse que les zones humides (si souvent méprisées) étaient « le réservoir le plus précieux de la biodiversité », elle-même indispensable à la survie de l’espèce humaine, La Seine en Partage et ses Affluents, logique avec elle-même, lançait « une véritable croisade contre toutes les formes de pollution ».

« Vigies des bords de l’eau », les riverains étaient les premiers témoins de la catastrophe dramatique que provoquaient les évolutions mal maîtrisées d’une société de surconsommation débridée. Cette catastrophe avait un nom : pollution. Avant les autres, les riverains avaient vu leurs cours d’eau devenir des « égouts à ciel ouvert » et leurs rives transformées en « dépôts d’ordures sauvages ».

Après avoir tenté de sensibiliser l’opinion et les pouvoirs publics sur ce fléau de la pollution qui atteignait des proportions dramatiques, l’association prenait de premières initiatives comme la désormais fameuse opération « Berges Saines » qui remporta immédiatement un succès considérable auprès de tous les riverains.

Pour approfondir le sujet :

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